dimanche 23 janvier 2011

mardi 18 janvier 2011

Elle

Là dans tes yeux félins
je suis parti en croasades sans fin
Là voguant sur les rondeurs de tes seins
Je me perd dans un désert incertain

Là ou tes courbes meurent
Je suis devenu un homme sans peur
Là où commencent tes pleurs
Je défirais la mort et son aigre senteur

Par où commencer mon poème
et mon coeur se meurt ... regarde il est tout blême
Comment le terminer et toi qui n'aime
Ni sourire ni parole que mon amour sème
-

Tenebres

plui brume et miséres peuplent mon coeur
son stridant d'orage, son d'une infinie douleur
son changeant les rires en pleurs
son tuant l'espoir ou ne le rendant qu'un leurre
la dans cet ocean de desespoir vin une lueur
vin courage, vin l'amertume, vinl'ardeur
vin l'incertitude, vin le calme, vin la senteur
d'un fleau d'un poison d'une mort sans couleur

elle nous prend elle nous guide
elle nous ravis vers une fin sordide
elle nous vend aux marchants d'ames candides

eux las de nos perpetuels gemissements
las de nos haines de nos peurs de nos coassements
nous sément dans un désért cauchemardesque sans ressentiments
ainsi on expeyra nos crimes nos fautes nos dettes no jugements
nos hates nos retards nos coléres sans fondements
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Red Blood Moon

Rouge , étaient ses désespoirs
Rouge , cramoisis virant au noir
Couleur de la lune d'un soir
Qui éclaire un étroit couloir
Menant ou la mort aime se mouvoir
Brisant ses rêves sanguinaires du soir

Il s'attendait que ce rideau opaque de nuages
Devienne sang bordant les rivages
D'un ciel au sombre plumage ........
Là dans sa tête se dessinait l'image
D'un monde ou entre cieux et terres y a pas de barrages
Un monde ou il rencontrerait sa lune au rougeâtre éclairage

Larmes d'adieu

Lentement sur le son des gouttes
d'une averse , de larme qui lavent mes doutes
d'un ciel sans étoiles , sans lumiére qui brille
de ton visage sans ton sourire qui scintille
-
je m'aventure dans des route des vallées
que seul mon regard triste y est déja allé
je voyage entre tes courbes sans jamais m'attarder
car ma route est longue ma route est hantée
par nos haines par nos peines par nos mômes
brulés vif par nous vieux délabrés fantômes

-
puis vint la mort et me priva de toi
laissant mon coeur , perdu sans foi
vint aprés la douleur et m'enveloppa
gémissant je me suis laissé aller dans ses bras
noire froide des abimes vint la fureur
tel une armure glaciale de terreur
-
je haissais finalement les cieux
et je modissais nos infectes dieux
pourquoi eux injustes étaient immortels
et nous , prisonniers de nos enveloppes charnelles

Sad Valentine

chers Valentins Chéres valentines
Je vous offre ce poème je vous offre ces épines

Si pour célébrer l'amour il vous faut une date
Alors je vous dit le votre ne vaut pas une patate

Si pour dire je t'aime il vous faut un jour
Ça sera une formalité et non de l'amour

Alors faites en sorte que le petit ange
En cette date délaisse ces flèches et les range

Dite lui tes flèche t'as qu'à les vendre
Nos coeurs ne sont pas des proies à prendre

Oh valentins Oh valentines
Je vous dis ces quelques rimes

En pleurant ma solitude en vous enviant
Votre anniversaire d'amour qui m'est chiant ..... :(

There

Là dans le regard mielleux de ses yeux
il trouva son petit nuage d'ombre brumeux
qui l'emmena dans les cieux
pour qu'il rende l'âme heureux

Là sur la paume de sa main
Naquit<en lui le besoin
D'en finir avec la vie d'en finir avec cette putain
d'en finir avec les matins incertains

Là sur les courbure de ses hanches
il passait ses nuits blanches
et souffrait sous cette avalanche
de médisance et d'idées franches

Là chauvochant sa chevelure
il suivait ses cheveux et les murmures
de cet océan aux vagues pures
qui le rendait sans carapace , sans armure

Là somnolant sur sa peau
il découvrit que son petit monde était faux
qu'il pouvait jeter ses idées en trop
qu'il pouvait enfin oublier ses bourraux

Deep Darkness

Je m'enfonce dans le pénombre
Des jours passés dans l'ombre

Je m'attarde que quelque secondes
pour entendre l'orage qui gronde

avant de quitter ce monde pourri
je te souhaite cet amour qui périt

avant de me passer la corde au cou
je t'envoi ce zombie fou
ce zombi qu'est mon courroux

avant de me trancher les veines
j'arrête cette pièce , je descend de la scène
je dévéti mon âme pour qu'elle devient saine

Avant de me jeter sous les rails
j'arrête cette jérémiade de marmaille

avant que je ne me transperce le cœur
je te dis tout n'était qu'un leurre

Songe à la bibliothéque 3

Elle était sur sa chaise
Comme une reine sur le trône
Elle était à son aise
et mon cœur qui ronronne

Elle tapotait ses cours
Et moi pris dans ses mains
Elle me plaisait tout cour
Que faire c'est mon destin

Elle me transportait en Grèce
Muse , elle y était une fée
Elle m'ensorcelait avec ses tresses
même si ses cheveux étaient défaits

Après ce songe je reviens dans la bibliothéque
Je ne vois plus mon Olympe
Mais elle était là ma belle grecque
et je sens l'amour en moi qui grimpe

Songe Andaloux



Délicieuse goutte qui perle entre ses seins
Quittant cette flemme ce nuage de flèche que je crains
Quittant ce visage qui m'ensorcelle qui me rend fou de son teint
Je suis esclave de ta froideur je suis futile entre tes mains
-
Toi goutte ancrée sur sa peau frileuse
Je te guetterais ,je te goutterais goutte fugueuse
Je m'enivrerais de ta saveur délicieuse
Du jour de la lumière tu me fuis peureuse
-
Pour que derrière ce rideau noir
Tu te cache si habilement ,tu te laisse choir
Et avec ta chute meurt mon espoir
de te sentir entre mes lèvres de te boire
-

I love new york

 Sur l'un de tes grattes ciel majestueux
Au sein de ton ciel si vert acre malheureux
Mon petit ange fit par son regard qu'il pleu
Des coeurs amoureux rouges somptueux
-
NewYork ,
et j'entend plus ses ailes qui battaient
et les voilà sauvagement déplumés
NewYork ,
et son sourire des ses lèvres me fut volé
et ses peines de ses yeux criaient